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L’occupation des heures
samedi 14 juillet 2012, par
Depuis combien de temps n’ai pas eu le temps de m’occuper de ce site : trop, c’est évident. Mais les extensions temporelles et les compléments d’énergie n’auront pas toujours suffi pour cette année essentiellement consacrée à des aventures agrégatives ( : ça, c’est fait) jusqu’en mai ; puis la rédaction d’un essai pour les Belles Lettres, Cinématière (sur quelques relations entre l’art contemporain, le cinéma et la littérature d’aujourd’hui)… en espérant que cela paraisse au premier trimestre de l’année prochaine.
Parmi les occupations de l’année, il y aura tout de même eu l’atelier d’écriture au Louvre, la participation à la journée Doueihi à la BNF, la parution chez publie.net du livre de Nicolas Thély et le travail pour remue.net, notamment la 6ème nuit remue.
Bref, le temps pour soi n’a pas toujours trouvé sa place et le temps numérique n’a pas permis de se lancer dans tous les projets souhaités.
Pour l’heure, c’est le temps des chantiers pour l’année qui s’annonce déjà bien chargée. Et c’est tant mieux.
— Il aura d’abord les projets publie.net qui avancent. De nouveaux textes, de nouveaux auteurs… mais pour l’heure ne rien dire d’autre que les discussions sur les projets peuvent parfois prendre un peu de temps mais on sait qu’ils aboutiront.
— Ensuite, il y a le retour lent vers une écriture romanesque et le projet des Scènes de l’abandon que je reprends tant bien que mal dans cette période trouble et complexe
— Un nouveau texte à écrire pour la NRP autour de la question « Cinéma et théâtre »
— Et sous les bras les cartons du projet des Fantômes qui vont accompagner l’été et l’année qui vient, un essai à finir pour LdeS… excitation maximale et travail de chauffe !
— Et aussi préparer une nouvelle intervention au Louvre pour un autre atelier d’écriture. Il ne sera pas question d’Eurydice ou de Joconde… mais on devrait tenter une certaine dérive.
— Et de reprendre une vie de site plus digne que ce retrait, nécessaire mais maintenant derrière moi… et puis aussi il faudrait retourner travailler !