L’aventure remue.net se poursuit. Et fortement.
Les chantiers ouverts récemment ont nécessité un fort investissement, et pas seulement de moi.
Le dossier consacré aux résidences Ile-de-France est aujourd’hui en place et fonctionne drôlement grâce à Patrick Chatelier et Guénaël Boutouillet... et moi je m’épanouis dans les arcanes administratives du dossier. Il en faut.
Le site poursuit ses modifications, ses évolutions. Il faut travailler au cœur de la machine et du programme pour faire évoluer la (...)
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Bordure de soi
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Dernières lignes droites avec le rendez-vous remue.net
9 janvier 2011, par Sébastien Rongier -
Introduction en forme de (ir)résolutions
31 décembre 2010, par Sébastien RongierRésolution : ne pas en avoir (je veux vraiment, c’est-à-dire aucune de ces résolutions vraies qui sont celles qu’on ne tiendra jamais au-delà de leur énonciation contre-performative puisqu’elles sont de circonstance et ont souvent l’arrogance avinée).
Irrésolution n°1 : reprendre le fil de la vie de ce site en tentant au quotidien dès 2011 quelques lignes d’un Journal débordé. Parce que je donne beaucoup de temps et d’énergie à la vie de remue.net (côté administratif et organisationnel), j’ai un peu trop (...) -
(Dé-)conte de Noël
21 décembre 2009, par Sébastien RongierCOMPTE et DECOMPTE de Noël
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Pour Noël, on permet aux afghans de rentrer chez eux : pour les fêtes, pour faire la guerre, pour satisfaire le vote national, pour mieux les accueillir dans nos universités ouvertes et heureuses.
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On leur offre quoi aux afghans pour Noël, je veux dire, à part des bombes.
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Dans certains restaurants, cet hiver, on refusera du monde, mais pas à cause de la baisse de la tva. 25ème campagne d’hiver :la misère, quel succès !
50 %
Heureusement les banques vont (...) -
Remue.net : 11 décembre : Comment parler d’Histoire en littérature aujourd’hui ?
6 décembre 2009, par Sébastien RongierComment parler d’Histoire en littérature aujourd’hui ?
Première rencontre proposée par remue.net avec la collaboration de la Scène du Balcon le vendredi 11 décembre 2009 à 20 heures.
Café Cerise : 46, rue Montorgueil, 75002 Paris, métro Sentier ou Les Halles. Entrée libre et gratuite.
Réservation souhaitée au 01 42 96 34 98 ou par mail : scenedubalcon3[arobase]aol.com.
Dominique Viart, professeur à Lille 3, est l’auteur de nombreux ouvrages sur la littérature contemporaine, dont La littérature (...) -
Disparition de Michel Makarius
15 novembre 2009, par Sébastien RongierEsprit libre et pensée passionnée et passionnante.
L’homme était discret, ses signes d’amitié toujours chaleureux. Il manque. Et la tristesse est grande.
Se plonger dans son dernier livre. -
Séminaire Interarts de Paris 2009-2010 : L’extrême... et pour moi ce sera le 7 janvier
15 novembre 2009, par Sébastien RongierProgramme complet
Programme 2009-2010 – jeudi 9h 30 -12h 30 en Sorbonne
Centre Panthéon – Salle 216
(Entrée par le 12 place du Panthéon, 75231, Paris Cedex 05)
*Exceptionnellement les 26 novembre et 10 décembre : Université Paris 3-Sorbonne Nouvelle - Maison de la Recherche, 4 rue des Irlandais, 75005, salle du rdc (RER Luxembourg, métro : Maubert-Mutualité, bus : 84 ou 89 [arrêt Panthéon])
26 Novembre :
Murielle GAGNEBIN (Paris III) & Marc JIMENEZ (Paris I) : Ouverture du séminaire (...) -
Des morceaux de ville
28 novembre 2008, par Sébastien RongierLe premier, on l’a ramassé comme ça, presque par hasard. On sait parfaitement où. On sait presque quand. Le premier geste, le début d’une collection. On a ramassé ce morceau de métal, cette forme de la ville, fragment usé de la ville, morceau cassé de la cité.
Premier geste. Archéologie urbaine et du contemporain. Il est resté dans le sac. Il a été de tous les déménagements, de tous les changements, transformations et découragements. On ne le savait pas encore mais ce geste, ce bout de ville, on se (...) -
Orson, où es-tu ?
28 novembre 2008, par Sébastien RongierAu passage du parvis
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Paradise palissade
28 novembre 2008, par Sébastien RongierCe qu’il y a derrière la palissade...
Un jardin extraordinaire.
Dans la ville, une parcelle abandonnée, même par les regards. Pourtant un débordement. Des hauteurs de nature. Mauve. un jardin fabuleux, en l’absence de tout bouquet. Et le souvenir du cette faute de l’abbé Mouret, ce paradou, caché. Derrière, la palissade, la chair de ces mots, peut-être.
Mais les mots sont déjà là, enroulés sur la surface des murs. Ils drapent les ruines de la ville. Il a raison l’artiste de mettre en résonance ce (...) -
Grand vide
28 novembre 2008, par Sébastien RongierDifficile de trouver la possibilité de parler d’un soi.
Désert
Ce sont les autres entrées du site qui forment, au final, ces bordures possibles.